Son père est un petit commerçant dans un marché local à Malang.
Leur niveau social a commencé à évoluer quand ils ont emménagé à Jakarta pour s’entraîner avec l’entraîneur de la Malaisie.
Un an plus tard, il entre dans l’équipe nationale indonésienne, où il a le privilège d’être coaché par le chinois Hsienfu Tang, considéré comme le meilleur entraîneur de simple sur la planète.

Il barrera la route au plus adulé (en Europe) et régulier des joueurs, le danois Peter Gade.
En 2003, il quitte l’équipe nationale.
Aujourd’hui, après quatre ans de réflexion, il a décidé d’entraîner les simples en Malaisie car chez lui, les salaires restent misérables et il souhaite une vie meilleure pour sa famille.
D’ailleurs ses coéquipiers se sont tous expatriés à l’étranger.
Ses coéquipiers l’estime particulièrement, car c’est le joueur le plus fiable de l’équipe nationale, sur lequel ils ont pu compter à tout moment.
"Je suis vraiment béni par Dieu pour la grande carrière que j’ai obtenu ainsi que pour ma merveilleuse épouse".
Une carrière tout comme la gloire et la popularité, se termine un jour. Hendrawan préfère que l’on se souvienne plus de son caractère, d’une personne gentille, craignant Dieu que du champion sportif.
"Parce que je connais Jésus Christ je suis certain d’avoir la Vie Éternelle ".
Hendrawan et sa famille sont courageux car ils rendent souvent témoignage de leur foi.
Or, ce n’est pas facile en Indonésie ou en Malaisie.
Ces pays asiatiques très musulmans ou l’Islam se radicalise, persécutent les chrétiens, souvent au péril de leur vie.
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